samedi 2 avril 2011

La trilogie des dragons (Robert Lepage)

Pièce de théâtre collective ; Écrite par Marie Brassard, Jean Casault, Lorraine Côté, Marie Gignac, Robert Lepage, Marie Michaud ; Mise en scène par Robert Lepage.

Quatrième de couverture
Au commencement, il n’y avait rien, ou presque. Six acteurs, parmi lesquels le metteur en scène qui les a réunis, deux scénographes, un producteur. Une pièce mythique naît : La trilogie des dragons. Une fenêtre s’ouvre, le théâtre québécois vient de changer. Ce qui était une aventure singulière deviendra un spectacle emblématique. L’invention scénique a désormais un nom : Robert Lepage.
Comme en témoigne le préfacier Michel Tremblay, « voici que l’Asie prenait figure de Grand Ailleurs, d’univers extérieur à nous, où nous avions désormais le droit d’aller vivre des choses importantes loin du centre névralgique de nos rancœurs et de nos inhibitions. »

Pour l’Europe, vendu exclusivement sous l’étiquette Les 400 coups, ISBN 2-84596-075-1


Trois et deux
Cette oeuvre majeure du théâtre, écrite par un collectif d'auteurs et mise en scène par Robert Lepage, et d'une durée de plus de six heures, se divise en trois parties : Le dragon vert (Québec, 1932-1935), Le dragon rouge (Toronto,1935-1955) et Le dragon blanc (Vancouver, 1985). Elles explorent chacune une époque et un lieu différents, et donc, une mentalité différente qui évolue au fil des générations et des rencontres interculturelles. Écrite et jouée en trois langues, soit le français, l'anglais et le cantonais, La trilogie des dragons explore les rapports humains au-delà des barrières terrestres et langagières. Sous l'influence du symbolisme du Yin et du Yang, ressemblances et différences s'équilibrent dans une valse humaine de la fertilité créatrice. Une odyssée humaine qui transcende toute notion de temps et d'espace. Une marche dans les sillons d'une Chine à la fois imaginaire mais bien réelle. Car, « Je ne suis jamais allée en Chine ».

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